La bonne vie de Dutroux et Cie('MEUSE'30 août 1996)
La bonne vie de Dutroux et Cie
La « Une » du journal « LA MEUSE » du vendredi 30 août 1996
A la prison d'Arlon, ils sont l'un à côté de l'autre et peuvent donc communiquer tous les huit ensemble…
On croit rêver ! Dutroux et sept autres de ses complices sont, depuis le début de l'enquête et au fil des arrestations, logés l'un à côté de l'autre dans des cellules de la prison d'Arlon (photo). Ils peuvent louer une TV et acheter les journaux. Ils ont donc tout le loisir (entre les interrogatoires, bien sûr) de communiquer entre eux et de mettre au point leurs petites affaires !
Comme par exemple, de mener les enquêteurs sur de fausses pistes... Le juge d'instruction savait rien et, a fortiori, le procureur du Roi. C'est LA MEUSE - LA LANTERNE qui en a informé M. Connerotte. Il devait intervenir, hier après-midi, pour que cela cesse... si ce n'est pas trop tard (Pages 10, 11 et 12)
Faites passer...
Puisque ces détenus peuvent nous lire, nous leur faisons passer ce message :
« A vous tous dont la culpabilité sera avérée (comme Dutroux, par exemple, qui a avoué), sachez que notre journal ne vous lâchera pas.
Toute la vérité doit éclater. Tous les coupables doivent être punis.
Nous y aiderons de toutes nos forces ».
La « Une » du journal « LA MEUSE » du vendredi 30 août 1996
A la prison d'Arlon, ils sont l'un à côté de l'autre et peuvent donc communiquer tous les huit ensemble…
On croit rêver ! Dutroux et sept autres de ses complices sont, depuis le début de l'enquête et au fil des arrestations, logés l'un à côté de l'autre dans des cellules de la prison d'Arlon (photo). Ils peuvent louer une TV et acheter les journaux. Ils ont donc tout le loisir (entre les interrogatoires, bien sûr) de communiquer entre eux et de mettre au point leurs petites affaires !
Comme par exemple, de mener les enquêteurs sur de fausses pistes... Le juge d'instruction savait rien et, a fortiori, le procureur du Roi. C'est LA MEUSE - LA LANTERNE qui en a informé M. Connerotte. Il devait intervenir, hier après-midi, pour que cela cesse... si ce n'est pas trop tard (Pages 10, 11 et 12)
Faites passer...
Puisque ces détenus peuvent nous lire, nous leur faisons passer ce message :
« A vous tous dont la culpabilité sera avérée (comme Dutroux, par exemple, qui a avoué), sachez que notre journal ne vous lâchera pas.
Toute la vérité doit éclater. Tous les coupables doivent être punis.
Nous y aiderons de toutes nos forces ».
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